mercredi 10 août 2016

World Vegan Summit - July 29-31 at UC Berkeley Californie USA


http://worldvegansummit.com/details/
https://www.facebook.com/events/1007947479255611/permalink/1240610402655983/

Cet évènement ayant eu lieu à l'université de Berkeley en Californie, et organisé par Ben Linden (Vegan Radio ( http://www.goveganradio.com/ ), activiste et vegan depuis une trentaine d'années, était très intéressant, tant par les conférences (speakers) et les stands, que par la communication. Mon amie vegane Julie grâce à qui j'ai pu entreprendre ce beau voyage a beaucoup aidé aussi à l'organisation, Anuj, ainsi que Gracie, Ben et Michèle, activistes vegans.


Beaucoup de questions ont été posées par le public lors des conférences, certaines personnes étant plus proches du welfarisme que de l'abolitionnisme.



Gary Francione, professeur d'université et philosophe, et sa femme Anna Charlton ont alors répondu et expliqué la nécéssité de devenir vegan et de promouvoir le véganisme, au lieu de perdre du temps à vouloir améliorer les terribles conditions des animaux en ce monde.Par exemple, beaucoup d' associations dépensent beaucoup d'argent dans le welfarisme au lieu de promouvoir vraiment le véganisme, qui est pourtant la seule solution pour libérer les animaux maltraités/torturés et tués pour leur exploitation.Cette philosophie rejoint du collectif français abolitionniste International Campaign : "Pas de cages plus grandes, juste des cages vides !" J'ai eu la chance de discuter avec Gary de ma Campagne France Sans Fourrure, lui expliquant que ce commerce n'est pas le même aux USA et en France. Pourquoi ? Car l'Union Eur est le plus grand importateur des 95 % des fourrures au monde qu'exporte la Chine, et parce que nos marques de prêt-à-porter commercialisent en grande quantité ces garnitures en fourrure de chien viverrin pour la plupart, en renard, lapin, chien et chat domestique, dépecés pleinement conscients. Réussir à convaicre ces marques d'en finir (aussi avec la laine angora ) comme notre collectif y est parvenu, c'est faire reculer ce commerce, afin de mener à son abolition. Il y a  bien sûr aussi des élevages d'animaux pour leur fourrure aux USA, de renards (victimes également du cruel trappage des piegeurs) et de visons. Grâce au film de Shannon Keith, Skin Trade qui a mené à l'interdiction des ventes de fourrure à Hollywood et dans l'est de Los Angeles, le public a été convaincu de l'horreur de ce commerce, pour beaucoup.Mais il est vrai, que ce soit en France et aux USA, le cuir et la laine reste à bannir de même. Parmi les conférenciers, nous avons aussi pu entendre Gary Steiner ("L'Animal est une personne"), Delta Farrigton et ses produits vegans et naturels pour l'alimentation des chiens et des chats (marque Bénévo, croquettes et boîtes, par exemple). L'alimentation carnée étant mauvaise pour leur santé (comme pour nous êtres humains), d'où les problèmes de santé comme les cancers, et les taux de créatinine/d'urée qui monte en flèche et fera mourir l'animal prématurément.Les chiens sont omnivores, et peuvent se passer de viande, quant aux chats, notons qu'un félin dans la nature (chat sauvage, tigre...)ne mange qu'une fois par semaine environ, et cela suffit. Alors que les chats domestiqués sont nourris tous les jours avec des boîtes où croquettes à base de restes de poulet ou de thon (une des raisons pour laquelle cette espèce est en d'extinction dans le monde) remplis de conservateurs et de produits chimiques, de surcroit. L'apport de taurine, primordial pour les chats étant des animaux carnivores se trouve dans ces produits végans/naturels. Amanda Benham, diététicienne Australienne a parlé des bienfaits du meilleur régime qui soit, le véganisme (le diabète disparait lorsqu'on devient vegan). Ainsi qu'une doctoresse Indienne, Valida Priyanka, dont la famille est vegane depuis 700 ans !Il serait trop long d'énumérer ici tous les "speakers", aussi intéressants les uns que les autres, que vous trouverez sur le site de l'évènement :

http://worldvegansummit.com/details/

Puis nous avons fait la marche pour le véganisme dans les rue des Berkeley, où nous avons distribué les tracts de l'évènement, et discuter avec le public, très receptif pour la plupart..Il est beaucoup plus facile de communiquer aux USA plutôt qu'en France, les gens étant très ouverts au dialogue, et pour pas mal d'entre eux, déjà végétariens. J'ai aussi eu la chance de renconter un des activistes de Direct Action Everywhere, du sauvetage de quelques chiens à Yulin, en Chine, en juin dernier :

http://directactioneverywhere.com/open-rescue/#why-open-rescue

Alors que je retenais mes larmes dans l'avion qui m'emmenait de Paris à la Californie, en lisant l'histoire de ce sauvetage, je ne pensais pas avoir la chance de renconter l'un des activistes, Christ Van Breen. Ce fut dans un restaurant vegan de Berkeley, où nous sommes allés avec Julie et les autres après l'évènement. Nous nous sommes aussi remerciés l'un et l'autre, Chris pour mon collectif et Campagne anti fourrure, particulièrement de Chine, sachant que la peau des chiens et des chats torturés et tués dans ce pays pour leur viande, est exportée à l'étranger, dont la France. Et moi pour ce formidable sauvetage, en risquant leur vie. Ce qu'ils ont vu là-bas à Yulin n'a pas de nom......des chiens battus à mort devant leurs yeux impuissants, puis massacrés......Trois d'entre ces malheureux chiens sont à présent sauvés et vivent en paix à Berkeley, à défaut d'avoir pu en sauver plus.
En sortant du restaurant, nous avons vu un sans domicile fixe (ils sont nombreux, malheureusement) installé parterre, Ben lui a alors offert les restes du copieux repas vegan, emballé par le restaurant.
Comme la communication est plus facile aux USA, il est plus engageant de sensibiliser le public à l'importance du véganisme. Par exemple,  avec Julie nous nous sommes retouvées bloquées à l'aéroport d'Oakland pendant plusieurs heures, à cause d'un problème avec le moteur de l'avion.Mais ce fut l'occasion de promouvoir le véganisme une fois de plus.Les passagers, au lieu de s'ennerver et de s'impatienter comme l'auraient fait la plupart en France, était ouverts à la conversation, étant pour certains déjà végétariens, ce qui est le meilleur tremplin.Nous étions d'ailleurs assises dans l'avion à côté d'un homme d'une soixantaine d'année, presuqe vegan, qui n'a pas hésité à partager ses barres fruitées/chocolatées (naturelles et veganes), alors qu'il était trop tard pour revenir à l'endroit où étaient vendus des plats et sandwichs vegans. Notons qu'il est aisé de se restaurer de façon vegane en Californie, et pas seulement dans les grandes villes, entre autres les nombreux restaurants, plusieurs options "vegan friendly" sont aussi proposées dans les endroits où la viande et le fromage sont encore proposés. Entre autre, un jeune homme nous a offert tout naturellement son paquet de fruit secs, lorsque nous avons refusé la pizza vegane offerte par la compagnie d'avion, pour s'excuser du problème mécanique nous retenant sur place.
Enfin, nous sommes allées avec Julie à San Diego, plus au sud de la Californie, voir les phoques libres et heureux sur la plage, jouant sur les rochers. L'émotion était très forte, en les voyant dormir plus loin sur le sable, les uns contre les autres, se tant par les nageoires.Quand on pense à ce que le Québec leur fait subir depuis des décennies, ce spectacle était d'autant plus merveilleux.......




LE MONDE EST VEGAN, SI VOUS LE VOULEZ. !

L'alimentation vegane réduit votre empreinte de carbone de 1,5 tonnes de CO2 par an ! C'est plus que si vous changer de voiture pour une voiture hybride !

Respecter les animaux signifie devenir vegan.


Stéphanie Rossenu, responsable Société Anti Fourrure Collectif pour l'Abolition de la Fourrure.





dimanche 17 juillet 2016

mercredi 6 juillet 2016

Les animaux souffrent aussi en été ! Ne relâchez pas la pression sur les marques !



NE RELÂCHEZ PAS LA PRESSION AUPRÈS DES MARQUES DE PRÊT-À-PORTER PENDANT CETTE SAISON ESTIVALE : Les animaux destinés au commerce de la fourrure souffrent toute l'année dans les fermes d'élevage ; pour eux, alors que les vêtements à garniture sont rangés dans les placards, l'été ne changent rien. Leurs conditions de vie et de mort restent les mêmes, ils sont aussi confrontés à la chaleur dont ils ne peuvent se protéger dans leur cage exigües et grillagées ; il arrive d'ailleurs qu'ils meurent de chaud. Rappelons que plus nous convaincrons de marques d'en finir avec ce commerce sans nom, plus la demande reculera. En effet, toutes ces garnitures (capuches, cols) viennent de Chine, où de plus en plus d'élevages de chiens viverrins et de renards ont vu le jour à cause de la demande en Occident, où l'Union Européenne est le plus grand importateur des 95% des produits issus des peaux animales que la Chine exporte. Dans les années 1970-1980, la Finlande (qui est avec la Chine le plus gros producteur de fourrure au monde) a commencé a fournir des chiens viverrins à la Chine afin que son commerce de la fourrure s’accroît.

En Finlande, l'animal est électrocuté par l'anus avant le dépeçage, ce qui réduira à peine l'extrême douleur.

Voici un extrait du dernier Rapport sur le Commerce de la Fourrure en Europe qui en atteste (photos issues de ce rapport) : http://www.eurogroupforanimals.org/wp-content/uploads/2015/10/Case-Saga-Furs.pdf
"Selon les rapports sur l'industrie de la fourrure chinoise, le renard et le chien viverrin sur les fermes à fourrure chinoises peut être conservés dans des cages mesurant environ 90 (L) x 70 (W) x 60 (H) cm, l'équivalent de 0,63 m avec chacun des logements de un ou deux animaux. Ce qui veux dire que les cages en Chine contiennent trois fois moins d'espace et 14% (10cm) moins de hauteur prévue par les recommandations du Conseil de l'Europe"


Ajoutons à cela les tortures physiques et psychologiques endurées par les animaux, dénoncées par les enquêtes de Animal Equality dans plusieurs élevages Chinois début 2015 :
Animaux blessés, agonisants, à peine ou pas même abreuvés, nourris avec les restes de leurs congénères déjà morts, qui finiront par être dépecés pleinement conscients. Les enquêteurs d'Animal Equality ont dû assisté au cauchemardesque dépeçage d'une femelle chien viverrin vivante :
Vidéo : http://www.animalequality.net/node/681
 
Enfin, n'oublions pas que des chiens et chats torturés et tués pour être mangés en Chine sont victimes aussi du commerce de la fourrure. En effet, malgré l'interdiction d'importation au niveau de l'Europe en 2006, le trafic étant rentable et les contrôles douaniers inefficaces, les trafics perdurent. Ainsi ces capuches en fourrure animale étiquetées de manière litigieuse afin de ne pas choquer le consommateur avec le mot "chien" (le plus souvent aucune mention, ou encore "Raton laveur" alors que cet animal est très rarement exploité pour sa fourrure  découlent d’effroyables souffrances et de mort atroce.



C'est pourquoi nous vous demandons vivement d'insister auprès des marques et ce régulièrement, afin qu'elles prennent la décision de cesser d’utiliser les animaux pour leur commerce, comme plusieurs d'entre elles l’ont fait, grâce à la pression du collectif et du public.
Nous avons longtemps manifesté contre cette marque qui a ainsi arrêté de vendre de la fourrure animale :


D'autres encore :


Vous êtes nombreux à vous insurger auprès de notre collectif contre ces marques de prêt-à-porter, et nous vous conseillons de les contacter régulièrement pour leur signifier ce que vous nous dénoncez : que vous n'achèterez jamais chez elles, tant que ces marques n'arrêterons pas la vente de fourrure animale.

Derniers articles sur notre Campagne Facebook où nous vous expliquons comment et pourquoi contacter les marques, merci d'agir, votre action est importante :

Zapa, cible n°1 :


IKKS :



Burberry :



She :



Bel Air :



Zadig et Voltaire :



Gertrude :


123 :



Sud Express :
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=1627617210896073&set=gm.864643046981182&type=3&ref=3&ref_newsfeed_story_type=regular&action_history=null



Redkins et Kaporal : 



LES ANIMAUX ONT BESOIN DE NOTRE SOUTIEN


Fourrure : ABOLITION !!

L'équipe du collectif Société Anti-Fourrure
notre page Facebook : https://www.facebook.com/Soci%C3%A9t%C3%A9-Anti-Fourrure-1 ;

notre Campagne France Sans Fourrure 2016 sur Facebook : https://www.facebook.com/events/762543757191112/?ref=3&ref_newsfeed_story_type=regular&action_history=null&source=3&source_newsfeed_story_type=regularnotre 
Campagne France Sans Fourrure 2016 sur ce blog : http://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2015/09/campagne-france-sans-fourrure-20152016.html
notre compte Twitter : @SocAntiFourrure

lundi 23 mai 2016

Les News de la renarde : Compte-rendu de distribution de tract mai 2016

Malgré le beau temps, des températures peu élevées et des averses ne favorisent pas la disparition des manteaux à garniture en fourrure. Il faut donc en profiter pour sensibiliser le public ! Ainsi, ce sont des individus qui n'en porteront pas l'année prochaine.

En effet, nous avons encore des réactions positives de personnes horrifiées d'apprendre la provenance et les conditions de vie des animaux à fourrure qui trônent sur les capuches.
Une maman avec un anorak a très bien réagit et a affirmé qu'elle n'aurait jamais acheté ce vêtement si elle avait su la cruauté qui en découle (comme souvent, il n'y avait aucune étiquette concernant la composition de la capuche, ressemblant fort à du poil de berger allemand).
Une jeune fille a également été très choquée d'apprendre qu'elle portait certainement du chien viverrin et a fait la grimace en voyant les photos de ces animaux exploités en Chine, afin de finir sur des capuches.
Une jeune femme qui portait un pompon en fourrure animale comme accessoire décoratif a été convaincue par nos arguments et les réalités de cette mode violente et polluante. Son amie possédait, elle, un accessoire du même type mais en fourrure synthétique, ce qui permettait de lui montrer que les alternatives existent, sont abordables et meilleures pour la planète, la santé et les animaux.
Plusieurs personnes lisent chaque jour avec attention nos sacs "Je ne porte pas de fourrure" et certaines nous ont accostées pour avoir des précisions au sujet des élevages de ces animaux, voire pour prendre des tracts et nos coordonnées.

Si ces bords de capuches sont toxiques, ce n'est rien en comparaison de ce que subissent les animaux (ils sont plus de 4 par seconde à succomber pour cette mode sans éthique). Ils sont dépecés la plupart du temps pleinement conscients, après avoir vécu une vie de misères physiques et psychologiques, dans une cage exiguë, à peine nourris (avec les restes de leurs congénères) et abreuvés, sans soins ni divertissements.

Pour eux, pensez à informer vos proches et les consommateurs qui portent de la fourrure animale.

Vous pouvez agir sur la Campagne France Sans Fourrure (sur Facebook ou sur le blog)
mais aussi nous contacter pour recevoir une formation à la distribution de tract.

Fourrure : abolition !



mardi 17 mai 2016

Pétition à l'encontre de la boutique Kisly de Sens, qui ne respecte pas son engagement

 pétition à signer :


Au 17 mai 2016, le collectif français Société Anti-Fourrure n'a toujours pas reçu la signature de sa charte anti fourrure de la part de Monsieur Yé, responsable de la boutique Kisly, à Sens.
Cela a été pourtant convenu par téléphone en mars 2016, suite au retrait des articles en vraie fourrure, grâce à la pression du public et de notre collectif (voir l'article : http://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2016/03/vers-une-victoire-de-taille-face-la.html). Nous craignions en effet que ces articles soient de nouveau mis en rayon lors de la prochaine collection automne hiver, c’est pourquoi nous avions convenu avec M. Yé l’envoi de cette charte, qu’il s’était engagé à nous retourner signée, disant qu’il ne comptait plus commercialiser d’autres fourrures animales. La boutique proposait à la vente vraies et fausses fourrures, mais faisait passer de la vraie fourrure pour de la fausse sur certains de ses présentoirs.

Les dernières informations reçues de la part d’une vendeuse très agressive au téléphone sont malheureusement contraires à la parole de M. Yé, cette personne arguant qu’ils font aussi du synthétique, « le reste ne sont que des capuches en vraie fourrure, nous ne faisons pas de manteaux, nous ! » déclare-t-elle, minimisant l’ignominie qui en découle : animaux d’élevages chinois dépecés la plupart du temps pleinement conscients, alors qu'il faut au moins 2 à 3 animaux pour la confection d’une seule capuche. Ce genre de garnitures se retrouve en grand nombre dans les boutiques de prêt-à-porter en Union Eur, beaucoup d’animaux ne sont pas même utilisés, cela génère alors bien plus de massacres que pour les confections de manteaux qui, de plus, se vendent de moins en moins et depuis plusieurs années déjà. En outre minimiser la souffrance des animaux exploités pour des garnitures face à ceux dépecés pour des manteaux n'est moralement pas acceptable.
La réaction de cette vendeuse relevant de sophisme laisse à penser que ces vêtements seront de nouveau commercialisés, et explique pourquoi nous n’avons pas reçu l’engagement par écrit de M. Yé.

De plus en plus de marques ou boutiques font le pas vers l'éthique, pour les animaux et l'environnement, comme vous pouvez le constater en consultant cette article : http://societe-anti-fourrure.blogspot.fr/2016/03/recapitulatif-des-victoires-du.html.

À l’heure où Giorgio Armani décide de cesser d’utiliser la fourrure animale, maintenant que nous savons combien celle-ci est polluante et dangereuse pour la santé à cause des produits chimiques, alors que nous savons désormais faire de la belle et chaude fourrure non-animale, ainsi que des vêtements chauds et isolants sans aucune vraie ou fausse fourrure, il est temps que toutes les marques et boutiques arrêtent de cautionner cette industrie obsolète.

Nous vous proposons alors de continuer à montrer à M. Yé et à la boutique Kisly, en tant que client.e, en signant cette pétition, que de plus en plus de consommateurs refusent d’acheter de la fourrure animale.

Cette pétition est créée pour appuyer notre action sur la Campagne France Sans Fourrure (les lettres postales ne sont donc pas à négliger pour autant). Beaucoup d’entre vous sont mécontents de ne pas recevoir de réponse à leurs courriers, nous vous conseillons d’insister cordialement en précisant à nouveau que vous n’achèterez pas dans cette boutique si ces articles sont à nouveau proposés dans quelques mois.

Contact :
M. Yé, KISLY Sens, Z.C Chambertrand, 89100 SENS.
Tél : 03 86 95 25 66. Laissez sonner car les vendeuses peuvent mettre du temps à répondre. Nous vous prions de rester cordiaux et calmes, afin de ne pas desservir notre objectif, qui est le retrait de toutes les garnitures en fourrures animales.

Le collectif Société Anti-Fourrure vous remercie pour votre action, et vous invite à agir de façon hebdomadaire sur sa Campagne France Sans Fourrure :